Enfin ! Il était temps. Le CSA (1) s'est ému de la partialité en faveur de la gauche des chaînes de télévision, mais ça n'est pas moins vrai pour la presse, la radio et l'édition.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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Cette partialité s'est surtout manifesté à l'occasion du débat national sur le CPE.<o:p></o:p>

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Elle était évidente pour tout observateur neutre et lucide.<o:p></o:p>

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Elle était même grossière, transformant les médias en instruments d'une propagande choquante ayant pour but d'imposer au gouvernement le retrait du CPE.<o:p></o:p>

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En effet, si trois morveux dressant une barricade de quatre poubelles suffisaient pour que soit déclaré que l'Université X était bloquée, les interviews répétées des quatre morveux et leurs déclarations sur "6 colonnes à la une" suivies de celles de poids lourds du syndicalisme et de la politique finissaient par provoquer un effet boule de neige qui déclenchait contestations, révoltes et blocages des facs et des lycées (!) les uns après les autres sur front d'insurrection mettant face à face CRS, agitateurs professionnels, trotskistes nihilistes, anarchistes encadrant les casseurs et les morveux.<o:p></o:p>

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Les économistes, les analystes politiques, les éditorialistes les plus sérieux, les plus reconnus, avaient beau dire et écrire à travers les médias que le CPE pouvait être une bonne chose dans la mesure où un emploi "précaire" valait mieux que pas d'emploi du tout, leur voix étaient étouffées sous la déferlante des déclarations et interviews des petits merdeux relayées par les Laguiller, Besancennot, Parti Communiste et Syndicats, tous luttant contre le CPE.<o:p></o:p>

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Et il a fallu que ce soit plus qu'énorme pour que le somnolant CSA rappelle à l'ordre (si mollement) les chaînes de télé.<o:p></o:p>

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Cela laisse songeur sur la façon dont l'information durement maîtrisée par une poignée de gens qui décident est traitée dans notre pays.<o:p></o:p>

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Grande Commémoration de la date de l'abolition de l'esclavage, ce qui donnera l'occasion à Chirac de baisser une fois de plus son froc au nom de la France.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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Chiche que Chichi n'osera pas publier le nom des armateurs américains, bordelais, nantais et autres ports négriers qui avaient pratiquement monopolisés la traite, le transport et la vente des noirs que leur vendaient les chefs noirs négriers des côtes d'Afrique Occidentale.<o:p></o:p>

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Soit dit en passant la traite des noirs par les arabes avait mille ans quand les occidentaux s'y sont mis. Et les arabes du Golfe continuent à la pratiquer.<o:p></o:p>

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D'ailleurs nos politicards paillasses feignent d'oublier ou ignorent que si Louis Philippe Roi de France de 1830 à 1848 lança la conquête de l'Algérie en 1830, c'est parce que les pirates algériens (1) infestaient la Méditerranée, arraisonnait les navires de commerce dont ils vendaient équipages et passagers sur les marchés aux esclaves après avoir vendu le bateau et ses marchandises.<o:p></o:p>

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Les mêmes pirates barbaresques qui avaient fini par bloquer presque totalement le commerce maritime en méditerranée Occidentale venaient également capturer des populations sur ses côtes européennes (2). Ils les emmenaient au Maghreb et les vendaient également comme esclave.<o:p></o:p>

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Il y avait d'ailleurs un ordre religieux qui se consacrait au rachat de ces esclaves et servait d'intermédiaires entre leurs propriétaires et les familles qui, si elles étaient fortunées, payaient pour les racheter.<o:p></o:p>

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Quant aux autres…<o:p></o:p>

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Mais Chirac toujours en mal de repentance, terrifié à l'idée de déplaire à ses maîtres, va oublier tout ce qui précède.

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Que voulez vous faire contre ces mecs là dont la puissance est stupéfiante.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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Ils conduisent depuis 50 ans une terrible et cruelle guerre coloniale en Palestine en dépit de 30 résolutions de l'O.N.U. dont ils n'ont rien à foutre.<o:p></o:p>

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Ils vivent en Israël à coups de milliards de dollars de subventions qu'ils piquent direct dans la poche des contribuables américains.<o:p></o:p>

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Ils manipulent depuis 50 ans le gouvernement des U.S.A. au point d'en faire une servile marionnette à leur botte.<o:p></o:p>

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Ils tiennent d'une main de fer tous les médias (presse, radio, télévision, édition) auxquels ils interdisent toute critique d'Israël en particulier et des juifs en général.<o:p></o:p>

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Ils ont réussi à faire plier les plus puissantes banques suisses et du Monde en leur piquant des milliards de francs suisses qu'ils ont affirmé être la propriété de juifs morts en déportation.<o:p></o:p>

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Avec "L'Industrie de la Shoah", l'ouvrage de Norman G. FINKELSTEIN, lui même juif américain, il est démontré qu'ils mettent le monde occidental en coupe réglée en le rackettant au nom de la Shoah.<o:p></o:p>

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Prétendre après cela qu'ils ne sont pas d'une race supérieure c'est être aveugle.<o:p></o:p>

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Le spectre de la Shoah constamment agité à moins pour objet le respect du devoir de mémoire, que de faire vivre dans la terreur les juifs du monde entier et de l'Europe en particulier afin que massivement ils aillent s'installer en Israël pour lui fournir de la chair à canon.<o:p></o:p>

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Et la guerre impitoyable contre le négationnisme conduite par les juifs procède de la même logique. De la même stratégie. Il est interdit de lutter contre la terreur.<o:p></o:p>

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Venise fut une grande réussite politique, financière et sociale parce qu'elle fut une République Marchande fondée et gérée par des marchands.<o:p></o:p>

         Ceux qui dominent les médias ont décidé de foutre le bordel en France.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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         La preuve en est qu'ont été complaisamment interviewés à longueur d'antenne de télé, de radio et de colonnes de journaux, uniquement ceux qui manifestaient et faisaient grève contre De Villepin et son C.P.E. Comme contre toute autre réforme.<o:p></o:p>

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         D'ailleurs ne sont pratiquement jamais interviewés ceux qui soutiennent les réformes qu'ils soient journalistes, hommes politiques, étudiants, enseignants, hommes de la rue ou autres. Ni ceux qui sont contre les grèves des services publics.<o:p></o:p>

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·        Qu'il s'agisse de l'assouplissement d'un Code du travail qui empêche les Petites et Moyennes Entreprises d'embaucher parce qu'elles le considèrent, à tort ou à raison, comme un piège à patron.<o:p></o:p>

·        Qu'il s'agisse des retraites dont les fonctionnaires (surtout les moyens et les hauts) se sont gavés sans faire d'enfants en laissant aux enfants des autres et en particulier de ceux des immigrés, la charge de les payer et que l'État ne paie qu'en volant, en escroquant les caisses de la Sécu des salariés des entreprises privées.<o:p></o:p>

·        Qu'il s'agisse de Caisse d'Assurance Maladie dont les cotisations des fonctionnaires sont de 30 % inférieures à celles des salariés des entreprises privées.<o:p></o:p>

·        Qu'il s'agisse d'une Éducation Nationale plus soucieuse d'endoctriner politiquement les élèves et les étudiants que de leur apprendre à lire, écrire, compter et un métier.<o:p></o:p>

·        Qu'il s'agisse du "Préfond" Caisse de retraite par capitalisation exclusivement réservé aux fonctionnaires alors que ces caisses sont au nom de la solidarité refusées aux salariés des entreprises privées.<o:p></o:p>

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         Tous les éditoriaux des journalistes économiques et financiers de télé, de radio et de presse disent et démontrent la nécessité de ces réformes mais leurs collègues, de la presse, de la télé, de la radio, tous trotskistes, comme ceux qui ont la charge des gros titres dans les journaux n'en ont cure se comportent en véritables incendiaires et poussent au crime en hurlant à la mort. <o:p></o:p>

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         A la mort des réformes. <o:p></o:p>

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         A la mort de la nation.<o:p></o:p>

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         Et bientôt de l'Europe.<o:p></o:p>

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