Ces journalistes c'est vraiment de la m…<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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Ils n'ont pas de mots assez durs contre quiconque prétend détenir une arme pour se défendre, défendre sa famille et ses biens.<o:p></o:p>

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Ils clouent au pilori les chasseurs, les anti-ours, les anti-loups, les partisans d'un minimum d'ordre. Comme ceux qui considéraient que c'était une vaste connerie que de laisser des dizaines de milliers de petits merdeux manipulés par des démagogues, bloquer les universités, les lycées et les collèges contre un CPE qui avait l'avantage de donner une chance de trouver un emploi à ceux qui avaient le moins de chance d'en obtenir un.<o:p></o:p>

En revanche l'indulgence de ces journalistes de merde pour le hasch, l'héroïne, la corruption, les déviances de toutes natures le racket de la France par les fonctionnaires, l'endoctrinement des élèves par les enseignants, n'a d'égale que leur réprobation de tout ce qui précède.<o:p></o:p>

Les français deviennent une sacré race de fainéants ! <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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A Paris il n'y a pas un seul français de souche chauffeur de taxis. C'est trop pénible.<o:p></o:p>

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Tous les chauffeurs de taxis sont, soit noirs, soit arabes.<o:p></o:p>

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Dans tous les hôtels et restaurants, tout le personnel de nettoyage est noir ou arabe comme le sont souvent les personnels d'accueil et de service en salle des établissements au dessous d'un certain niveau de clientèle.<o:p></o:p>

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Aux français de souche qui gueulent pour qu'on les vire, et on les comprend si l'on considère la population carcérale, il faudrait poser la question : "Bon ok, on les vire. Mais qui les remplace ?" Sûrement pas les français de souche gavés d'allocations diverses.<o:p></o:p>

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Alors c'est simple, c'est tout un pan de l'économie française qui s'effondre parce que le pourcentage de l'emploi des noirs et des arabes est à peine moindre dans les postes peu qualifiés et un tant soit peu pénible de l'Industrie, du Commerce et des Services que dans l'hôtellerie et la restauration.<o:p></o:p>

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Quant aux taxis …<o:p></o:p>

Les juifs et la presse qu'elle soit de droite ou de gauche n'ont pas de mots assez durs pour condamner le Maréchal Pétain qui a gouverné la France de 1940 à 1944.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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En même temps n'ont-ils pas de mots assez louangeux pour parler de l'action du général De Gaulle.<o:p></o:p>

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Quand viendra le jour où les passions s'étant apaisées (1), il sera possible de débattre sur certains évènements récents, l'on s'apercevra alors que le Général De Gaulle a accumulé les plus sanglantes bourdes politiques et les plus coûteuses bourdes en matière sociale et que le Maréchal Pétain, lui "a fait ce qu'il pouvait" dans une France occupée par l'armée allemande après une écrasante défaite conséquence du pacifisme bêlant et de l'antimilitarisme militant des mêmes qui avaient déclaré la guerre à l'Allemagne (2) et qui sont aujourd'hui ceux qui condamnent farouchement "le Gouvernement de Vichy" qu'ils honnissent.<o:p></o:p>

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Ainsi pourraient-ils se souvenir qu'aucun juif de la zone non occupée n'a porté l'étoile jaune dont le port avait surtout pour but de signaler leur "densité" dans la politique, les médias, la finance, la haute administration, le théâtre, le cinéma, la presse, l'édition, la recherche, la musique, les arts en général et encore plus généralement tous les postes de direction.<o:p></o:p>

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Les juifs en particulier - les Sépharades surtout - devraient réfléchir pour une critique anti-pétainiste plus sélective.<o:p></o:p>

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Les Sépharades (Juifs d'Afrique du Nord⁽³⁾) eux n'ont absolument jamais été inquiétés et devraient à ce titre vouer une immense reconnaissance au Maréchal Pétain.<o:p></o:p>

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Un simple chiffre. Il y avait 700 000 juifs en France. Quatre vingt dix pour cent d'entre eux n'ont pas été déportés. Sur les dix pour cent qui l'ont été, la moitié l'auraient été de toutes façons pour des raisons politiques.<o:p></o:p>

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Dans la plupart des pays européens, quatre vingt dix pour cent de la population juive a disparu contre cinq à six pour cent en France.

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Le modèle économique et social anglo-saxon n'est pas transposable en France nous dit-on.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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C'est exactement ce que l'on nous disait dans les années 50 et à la fin des années 40 à propos du "modèle hollandais" en matière de décolonisation. Et en nous traitant de "bradeurs d'empire" de communistes.<o:p></o:p>

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Les hollandais eux, plutôt que de faire des guerres imbéciles pour conserver leur immense empire colonial l'avaient tout simplement largué. D'un seul coup.<o:p></o:p>

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Il en était résulté pour la Hollande une prodigieuse prospérité qui est encore la sienne aujourd'hui.<o:p></o:p>

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La France s'est alors perdue dans des combats ubuesques autant que sanglants et criminels vis à vis des populations locales (Indochine, Tunisie, Algérie, Madagascar…).<o:p></o:p>

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Elle a massacré les populations locales. Elle y a fait tuer cinquante mille jeunes français.<o:p></o:p>

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Sa conduite a été doublement criminelle. D'abord par le sacrifice délibéré de cinquante mille de nos soldats et de dix ou quinze fois plus "d'indigènes". A Madagascar seulement le gouverneur De Chevigné, chrétien de gauche, a fait massacrer quatre vingt mille malgaches qui avaient osé demander l'indépendance de la Grande Ile.<o:p></o:p>

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Et tout cela pour ces conneries archaïques qu'étaient les colonies, l'Empire d'Outremer et "la Grandeur de la France" mal comprise par une classe politique (De Gaulle en tête) sclérosée sur de vieux schémas moyenâgeux.<o:p></o:p>

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Comme le sont aujourd'hui en matière économique et sociale la classe politique, les syndicats (ô SUD !) et les journalistes.<o:p></o:p>

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Le coût en sera aussi élevé que "l'erreur coloniale" non en hommes mais en richesses gaspillées, en niveau de vie, en lutte contre les maladies, en pessimisme, en retard technologique, en bonheur.<o:p></o:p>

Toute la putasserie… est résumée dans le landau contenant un bébé qui dans le film "Potemkine" d'Eisenstein descend une à une dans la mitraille, les marches des grands escaliers de Sébastopol. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>